C’est le plus souvent l’inconnu ou le non familier qui nous fait peur: le vide de connaissance est alors tout de suite rempli par les lieux communs, les stéréotypes, les ouï-dire, les faits divers érigés en preuves ontologiques. Et ce d’autant plus quand ces attitudes trouvent confirmation dans les propos discriminatoires, voire franchement racistes des plus hautes charges d’un État ou encore dans les mesures contestables qu’elles adoptent …
Il importe alors de combler le vide de notre ignorance par des informations. De mobiliser nos représentations figées, de suspendre nos jugements à l’emporte-pièce. D’essayer simplement de comprendre. Pour commencer.
Sans velléité d’exhaustivité, voici quelques premières, simples pistes à suivre.