
En ce 1er mai 2013, fête des travailleurs, comment ne pas penser, avec solidarité et souci et empathie, à tant de chômeurs et de chômeuses qui, à travers toute l’Europe, souffrent de la perte de leur travail; à tant de jeunes qui, d’emploi intérimaire en emploi intérimaire, vivent dans l’angoisse de perdre le leur; à tant de femmes que cette crise pénalise; à celles et ceux qui, tout en travaillant, sont dans la crainte de la perte de leur emploi; à celles et ceux qui ont définitivement perdu tout espoir d’en (re)trouver un jour un; à celles et ceux qui sont obligés pour survivre d’accepter n’importe quelles conditions de travail; à celles et ceux qui sont désormais obligés de survivre nous imaginons avec peine dans quelles conditions …
Comment ne pas leur dire notre honte, notre sentiment d’impuissance et notre envie d’action positive en leur secours?
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